

Coups de coeur
Voyager c'est aussi avoir de gros coups de coeur. Entre des rencontres fabuleuses et l'osmose avec la terre-mère, ce sont des instants de vie pas du tout ordinaire qui auront su faire briller mes yeux...

Affronter la puissance de l’eau des chutes d’Iguaçu (Coté Argentine et Brésil).
Cette aventure m'aura tout de même coûté un appareil photo réflex et le droit de faire un tour au Paraguay pour en racheter un autre...
Passer la soirée à discuter sur la plage et se rendre compte plus tard dans la soirée qu’il y a des crocodiles dans l’étang qui se tient à 20 mètres (Parc de Tayrona, Colombie)
Voyager à l’arrière d’un pickup et traverser le désert. Pour se rendre à Cabo de la Vela, avec Julien et Morgane, nous sommes montés à l’arrière d’un pickup. Nous partageons le trajet et le peu de place disponible avec des locaux et la nourriture pour approvisionner les habitants des petits villages perdus en plein désert. 2 heures de trajet où nous étions entassés les uns sur les autres, à remuer dans tous les sens (Cabo de La Vela, Colombie)

Dormir dans un hamac au bord de la plage des Caraïbes, en compagnie de Julien et Morgane. Apprécier le coucher de soleil et s’endormir en entendant le bruit des vagues (Cabo de la Vela, Colombie)
Passer les réveillons de noël et du nouvel an autour d’un barbecue. Mon premier Barbecue de Noël (Arequipa, Perou) et nouvel an en tongues (Iquique, Chili)


Apprendre à faire des bracelets dans la rue avec des Artisans Argentins, Chiliens (Tafi del Valle en Argentine et Montañita en Equateur) et sur les plages des Caraïbes avec Julien et Morgane et en la bonne compagnie de militaires bien curieux (Colombie)
Commander une larve frit pour l’expérimentation et se la faire dérober par un singe chapardeur. Finalement, j'ai commander une autre. Ca c'est fait!! (Misahualli, Equateur)
Se retrouver à quelques mêtres d'un anaconda de 7 mètres dans la jungle équatorienne (Parc naturel de Cuyabeno, Equateur)
Nager au pied d’une double cascade d’une soixantaine de mètres de hauteur (Baños, Equateur)




Voir le plancton briller sur le sable (Parc de Tayrona, Colombie)
Image internet
Se faire de nouveaux amis Argentins ou Uruguayens en leur proposant de boire du maté (Partout en Amérique du sud où j’en ai croisé)
Le Ninja de Canoa : Une histoire improbable et pourtant… Avec Julien alors que nous passions une soirée plutôt bien arrosée, nous avons aperçu un homme roder autour de notre auberge. Au début nous n’y prêtons pas attention. Des coups de sifflets comme pour réguler un trafic ou pour interpeler quelqu’un alors qu’il n’y avait pas un chat dans la rue. Faut dire que c’était très calme. Son apparence et son comportement nous semblait au fur et à mesure de plus en plus étrange jusqu’à apercevoir et entendre le « cric cric » de sa kalachnikov (Canoa, Equateur)
Profiter du coucher de soleil en haut d’une montagne au Lac Titi Caca (Isla del Sol, Bolivie)
La force de la nature : Un combat entre le vent et les nuages et voir le Machu Picchu se révélé (Machu Picchu, Pérou)
Passer mon anniversaire avec Christophe et Paula lors d’une cérémonie pour la Pachamama (Tilcara, Argentine)
Dans un bus ou dans la rue et être surpris de voir que les personnes viennent vous aider sans que vous l’ayez demandé (Argentine entre autre)
Acheter des cigarettes dans une épicerie et qu’on me demande si je trouve jolie la fille des gérants et si je souhaiterais me marier avec elle. Ma réponse : « Oula, je pense que je suis bien trop vieux pour elle !!! » (Devant le Musée de Sipan, Pérou)
A squatter sous le porche d’une église en attendant que le temps et la pluie passent, des enfants curieux viennent à nous, on prend des photos ensemble, une petite dame vient nous tenir la conversation ou toute simplicité (Leimebamba, Pérou)
Croire qu’on va mourir des centaines de fois en prenant les bus de transport : les chauffeurs prennent très largement leurs virages pour ne pas perdre de vitesse quitte à se trouver sur la voie de gauche alors qu’il n’y a de visibilité pour savoir si une voiture se trouve en face. En doublant un autre bus, le chauffeur se met à klaxonner pour signaler son intention de doubler à la voiture qui se trouve en face. Oh non, il va pas le faire… Si, il l’a bien fait. En un instant, nous étions 3 véhicules sur 2 voies. (Colombie et un peu partout en Amérique du Sud)
Voir les baleines se jeter dans les airs et s’amuser à nous éclabousser (Puerto Lopez, Equateur)








Faire un troc de foulard. Au Machu Picchu, je rencontre quelques Chiliens. L’un d’entre eux apprécie mon chèche rouge et noir et me propose un troc contre le sien noir et bleu turquoise (Machu Picchu, Pérou)
Se faire prendre en photo par des locaux. La mamie, la petite fille, le petit copain, l’oncle, la tante… Tout le monde est passé (Cartagena, Colombie)
Au petit matin, on m’annonce que dans la nuit il y a eu un tremblement de terre assez fort. Et moi je dormais profondément (Iquique et Valle Elqui, Chili)
Prendre l’apéro en plein désert et danser le limbo (Désert de San Pedro de Atacama)
Dormir à la belle étoile quelque part perdu dans la montagne, regarder les étoiles et sentir la force de la nature (Valle Elqui, Chili)
Ecouter du Gypsy King avec des Pirates Zen (Valparaiso, Chili)
Rester planter bouche bée devant les 21 couleurs de Humahuaca (Humahuaca, Argentine)
Faire la cuisine avec une canette de bière (merci Pedro), Sud Chili et Argentine
Se voir offrir un endroit où dormir alors qu'on est au bord de la route à attendre despérement que quelqu'un veuille bien nous prendre (Puerto Guadal, Chili)
Merci Zakarya!!








Vivre une fête locale : la fête de la Pachamama
Ce jour là je venais d'avoir 29 ans. Avec mon pote Chris (un français rencontré à Buenos Aires) et sa copine Paula (Argentine), nous avons accepté de passer une partie de notre soirée pour découvrir quelque chose de bien particulier. la Pachamama, la terre mère, la terre nourricière. Nous voici alors embarqué dans un rituel pour honoré la terre de nous permettre de vivre, de manger. On ouvre d'abord la terre, on lui offre des feuilles de coca, du tabac, du vin. Nous allumons le feux, dans lequel on jette quelques feuilles de coca et quelques cigarettes.
Les villageois chantent comme le veux la tradition. Un plus tard, quelqu'un leur souffle que c'est mon anniversaire. On me chante alors "joyeux anniversaire" dans leur langue maternelle, le QUECHUA...